Guive + Jahill + Antoine
>18h30 : Tournoi de jeux d’arcade
>19h30 : Antoine
Antoine chante ses petites chansons! Une guitare et des mots pour chanter la vie, l’amour, et le reste. Antoine se raconte un peu et raconte aussi des histoires. Entre coups de gueule et cris du cœur laissez vous embarquer.
>21h30 : Guive + Jahill
Guive
Considéré par ses pairs comme l’étoile montante du reggae français, Guive est en fait un artiste complet qui gravite au delà des clivages et dont la musique touche l’âme et le cœur des fans et des profanes. Le trombone toujours à la main, ce chanteur inspiré souffle à son public de douces mélodies aux teintes cuivrées. Son timbre de voix unique et son groove naturel lui donnent un style évoquant les plus grands crooners jamaïcains tels que Dennis Brown, John Holt, Delroy Wilson ou Freddie Mc Gregor et le rendent identifiable dès la première écoute. C’est en 1997 que Guive fait ses premières armes dans le reggae. Il jouera comme tromboniste-choriste pendant près de 10 ans dans différents groupes de la capitale, écumant les scènes de France et d’Europe. Au fil de ses expériences Guive s’est progressivement affirmé comme chanteur et les réactions enthousiastes du public l’ont naturellement placées au devant de la scène.
Guive est également un auteur de talent dont la plume sait trouver les mots pour nous chatouiller l’esprit. A travers ses textes en français et en anglais, il cherche à raconter le monde et le sien avec sincérité et profondeur, se faisant l’écho d’une pensée universelle. Son premier street album « Reggae addict » est déjà une référence pour les amateurs de reggae.
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Jahill
Sur « Paname Skank », Jahill revet l’habit du conteur, on passe de la déclaration d’amour ( Si c’est un crime ) à la déclaration d’amitié ( Mon poto , coup de cœur sur FIP ), on trouve de l’engagement plein d’argot et d’humour ( Si j’étais président, G.I Joe ) , sans toutefois devenir le bouffon de la cour ; s’il revient du Burkina Faso en 2006, son vibrant hommage au président des pauvres ( Sankara ) ne lui sortira des tripes que 6 ans plus tard, d’un trait, en une heure. Coté collaborations, Jahill imagine « Un monde sans couleurs » en compagnie de Gappy Ranks, l’enfant terrible du reggae Britannique, tandis que sa rencontre avec la Trinidadienne Queen Omega s’est transformée en véritable amitié sur « International Love ». Derrière les textes, il y a la musique. Pour réaliser ses compositions, Jahill a posé ses valises au studio Dubwise Factory, et fait appel à la crème des musiciens hexagonaux : l’incontournable duo Bost & Bim, le vétéran Yovo M’Boueke (Khaled, Rachid Taha, Tonton David), le saxophoniste Guillaume « Stepper » Briard ( Sly & Robbie, Horace Andy ), T’n’T ( Tairo, Mr Toma, Tumi & the Volume) Jason Wilson & Courtney « Bubbla » Edwards ( Admiral T, Jimmy Cliff, Sizzla ).
Le tout donne vie à une production soignée, ou les arrangements se font discrets , au profit du rythme et des mots.
Sur scène, Jahill c’est un sourire plein de gouaille et de tendresse à la fois, jamais complètement ou on l’attend, que ce soit avec son DJ, en acoustique, ou avec ses 4 musiciens du Paname International, il le dit lui-même : « Si t’es pas en sueur de la tete aux pieds quand tu sors de scène…change de métier ! »
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